● nom : écrire ici ● prénom(s) : écrire ici ● surnom(s) : écrire ici ● âge : 22 ans ● lieu de naissance : londres ● casier judiciaire : vierge, il est trop intelligent pour se faire prendre ● état civil : chasseur, libre donc ● activité(s) actuelle(s) : au choix

+ dominant, impulsif, intelligent, rationel
- manipulateur, charismatique, impassible, je m'en foutiste

L’histoire et tout ce qui fait ce qu’il est aujourd’hui vous est laissé libre de choix. Sachez cependant que le jeune homme a toujours été en quelque sorte amoureux de joplin, qu’il a toujours eu besoin, avec tout le monde, d’installer un rapport de force où il est le dominant. Il a vécu à Londres jusqu'à, au moins, ses 12 ans . Il est à Boston depuis aussi longtemps que vous voulez, c’est une grande ville, mais ils ne se sont vu pour la première fois (depuis dix ans) qu’il y a deux semaines.

Allongée dans le canapé de mon salon, je fumais tranquillement en écoutant un peu de musique. Je recrache doucement la fumée par mes lèvres entrouvertes et, doucement, mes paupières se ferment. Je suis stone, le monde est stone. Quand soudainement le bruit de la sonnette me tire de ma torpeur. Je soupire, me lève et écrase ma cigarette dans le cendrier avant d’aller ouvrir la porte, vêtue d’un simple peignoir en soie blanche, je me fiche complètement de ma tenue, je rembarrerai le malheureux qui ose me déranger dans un de mes rares instants de calme. J’ouvre alors la porte et lève les yeux sur.. Lui. Mes yeux s’agrandissent, mes mots se perdent au plus profond de ma gorge. Il rentre, fais un pas, je ne recule pas. Il avance encore et se colle contre moi, je secoue alors doucement la tête et me recule doucement « Qu’est-ce que tu fais ici ? Comment… ? » Demandais-je, je ne comprenais pas, je ne l’avais plus vu depuis… Dix ans, au moins. C’était mon meilleur ami en Angleterre, nous étions inséparables jusqu'à ce que ma mère meurt et que je ne déménage ici. Je ne l’ai plus jamais revu, même lors de mes quelques voyages à Londres. Il referme la porte et me regarde, me matte sans aucune gêne, je me sens alors mal dans cette tenue et croise les bras sur ma poitrine. « Je voulais te revoir Joplin. » dit-il en me dépassant, il entre chez moi, la musique n’est pas éteinte, c’est Lana del Rey qui passe en boucle sur mon ordinateur. Je l’admire, de dos, il est grand, musclé, tout a fait agréable à regarder. Il se retourne alors vers moi et s’approche, sans aucune hésitation sa bouche fond sur la mienne et ses mains, impatientes, glissent le long de mes hanches. Il glisse sa main gauche sur mon genou et le relève contre lui plaquée contre le mur je ne peux plus rien faire. Je ne veux rien faire d’autre que capituler. Ses lèvres brulantes de désirs voyagent sur ma peau, mes mains hésitantes se faufilent jusqu'à son torse que je dénude rapidement. […]

Et puis, il est partit.

Ca fait deux semaines que je ne l’ai plus vu mais ses baisers sur ma peau ont laissés des marques brulantes, j’ai l’impression qu’elles sont visibles de tous, que mon corps lui appartient désormais et qu’il peut revenir le prendre quand il en aura envie. Je frissonne a cette idée et m’enfile un énième shoot de vodka. C’est pendant mon set dans la dernière boite à la mode de la ville que je le vois, il monte jusqu'à la cabine qui m’est attribuée, celle du DJ résidant et se pose dans un siège le temps que je finisse, mon regard dévie sans cesse sur le coté, il ne me voit pas bien sur mais il me perturbe. Cet homme dégage quelque chose, quelque chose qu’il a toujours dégagé. Quand nous étions gosses, il a toujours été le chef, celui qui décidait de tout et que je suivais les yeux fermés, juste pour l’impressionner. Il me faisait faire les pires conneries, avec lui, je le suivais toujours. Je n’avais plus vraiment envie de cette relation malsaine, je n’avais plus envies de faire les choses folles qu’ils voulaient nous faire faire. Je mis fin au set, vers quatre heures du matin et il se leva enfin, attrapa mes mains et me forçai a sortit avec lui, je n’eus que le temps de prendre une veste et de la mettre sur mes épaules. Une fois dehors il m’embrasse encore une fois, fougueusement, devant tout le monde. Je le repousse alors vivement. « Arrêtes, pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu es revenu ? Je ne suis plus l’enfant que tu as connu. » Déclarais-je en haussant les épaules. Il soupire, me prend la main encore et m’emmène dans sa voiture. « Je suis venu pour toi. C’est ton père qui m’a dit où tu habitais, j’ai voulu te revoir, reprendre les choses là où on les avait laissé mais… » il sourit, me lance un regard carnassier et s’approche doucement, glissant ses doigts dans mes cheveux blonds, je frissonne encore une fois. « Mais tu n’es plus une enfant, non et je n’en suis plus un non plus. » dit-il doucement, ses lèvres trouvent les miennes, encore une fois et je prolonge ce baiser brulant à souhait. « Je ne suis pas à ta disposition.. » soufflais-je doucement, dans une vaine tentative de résister. « Oh, si, tu l’es. » réplique-t-il en souriant avant de m’embrasse pour la énième fois.