● nom : Smith. ● prénom(s) : Arthur, Robbie, mais à choisir aucun des deux, on le surnomme plutôt Rob et ça lui conviens.● surnom(s) : Rob. ● âge : vingt et un ans.● date et lieu de naissance : Né le 27 octobre 1990 à Boston. ● casier judiciaire : loin d'être vierge, arrêté deux fois pour trafic de stupéfiants et un bon nombre d'autres pour usage de produits illicites, mais ne dépassant jamais la garde à vue, paternel richissime = une armée d'avocats les plus brillants de Boston à son service. ● statut : célibataire. ● activité(s) actuelle(s) : vivre au crochet de son père, n'est-ce pas le meilleur job sur cette putain de planète ? Le deal c'est même pas pour les thunes, ça fait passer le temps, tout comme la musique.

+ intelligent, rusé, séduisant, réaliste, charmeur, adjectif, adjectif, adjectif
- arrogant, vaniteux, sarcastique, moqueur, paresseux, je m'en foutiste, paresseux, torturé,

☆ bonjour mon coco, n'aie pas peur, approche. on est seul mais d'abord, dis-moi d'où tu viens et je te dirais qui tu es : C'est facile de poser ce genre de question, difficile d'y répondre sans se replonger dans l'abîme de nos souvenirs. Je suis né à Boston, d'un père déjà friqué et d'une mère au foyer alcoolique, où comment bien commencer sa vie. Mes parents s'aimaient comme des fous, même si j'ai toujours cru le contraire, ma maternelle je la pensais avide d'argent et de pouvoir, mais je m'étais trompé, la seule personne qu'elle avait toujours aimé était mon père, je ne sais même pas s'il y-avait de la place pour ma sœur et moi. Oui, parce que comment vous conter mon histoire sans celle de ma sœur, impossible de nous dissocier l'un de l'autre. Dès notre plus jeune âge, nous avons été envoyé dans des écoles privées de renom, elle religieuse, moi j'y ai échappé. Elle était une élève brillante et n'avait aucun besoin de travailler pour obtenir les meilleurs notes de sa classe, j'en branlais pas une, et je m'en foutais, mon avenir était tout assuré par le paternel. Cependant les interdictions et restrictions étaient de plus en plus nombreuses pour elle, personnellement je faisais ce que je voulais, j'avais su gagner la confiance aveugle de mes parents. Hannah, n'y parvenait pas, son anorexie n'aidait pas vraiment il fallait l'avouer, mais elle s'en foutait et dépassait toutes les interdictions auxquelles elle avait droit. Le soir, on volait une voiture et on faisait le tour des boites, chacun de notre côté puis on se retrouvait pour rentrer, et quand elle sortait seule, je l'aidais à se mettre au lit lorsqu'elle était un peu trop déchirée, et c'était réciproque. Et une nuit, tout à basculé, on avait pris ma voiture de sport, je roulais vite beaucoup trop vite, il y-avait de la pluie, je roulais à l'aveugle, le camion je ne l'ai pas vu, seulement ses fards et il était trop tard. Le choc a été violent, brutal, sanglant. Je n'ai pas su la retenir, la réanimer, je suis resté là à la regarder dans les yeux, ses magnifiques yeux lagon, elle m'a attrapé la main, son visage n'était plus que sang et chair, sa respiration n'était plus qu'un râle sourd, annonçant la mort. Elle a fermé la yeux et ça en était fini de sa vie et de la mienne. Je ne pourrais vous dire pendant combien de temps je me suis bourré la gueule pour oublier et défoncé à la came pour planer, des mois, des années peut-être. Aujourd'hui ça fait quatre ans, quatre ans que je ne passe plus par sa chambre pour retirer les mégots qu'elle laissait sur sa table de nuit en s'endormant, quatre ans qu'elle ne me couvre plus quand je sors, quatre ans que le côté passager de ma voiture est vide. Quatre ans de solitude et tout est de ma faute. Lorsque j'avais dix sept ans, mes parents ont jugé bon de m'envoyer consulter un psychologue, parce que malgré tout j'avais tué ma sœur et que ça laissait des séquelles, il ne m'a rien apporter, m'a simplement aidé dans ma descente aux enfers, et je l'en remercie, c'est loin d'être ironique. Seulement il avait raison, je ne me suis pas contenté de me détruire moi même, mais tout ce qui m'entourait, ma mère à fini par mourir de tristesse, rendant mon père fou de chagrin, me blessant un peu plus, j'ai fini par blesser les autres et j'ai entraîné Emelee avec moi, c'est l'une des choses que je regrette le plus, elle ressemblait tellement à Hannah, j'ai brisé sa personne et je suis parti sans un mot, alors qu'elle était la première femme qui avait réellement réussi à me toucher, bien plus que je ne l'aurais voulu.
☆ très bien, tout est parfait, comment vis-tu en ce moment ? plutôt boston de jour ou de nuit ? as-tu rencontré l'âme sœur ? : Boston de nuit, je suis un animal nocturne, j'sors la nuit, j'dors le jours, et ça depuis mes quatorze ans. Jeune me direz vous ? Exact, mais j'm'en balance complet, ouais c'est ça, je suis un je m'en-foutiste, je me fout de tout et je trouve ça cool, j'aime avoir l'esprit libre, en général les gens aiment pas vraiment ça. Mais putain s'ils savaient à quel point ils me font rire, ces moralisateurs à trois sous. A vingt et un ans, je vis toujours chez mon paternel, ça non plus ça plait pas, particulièrement à lui d'ailleurs, je sais qu'il n'a qu'une envie, celle que je mette les voiles, qu'il puisse ramener toutes ses petites catins, chez lui, à contrario il n'apprécie pas que je ramène les miennes à la maison, personnellement je les paye en nature et ça leur convient. L'âme sœur ? Arrêtez avec vos conneries, vous savez aussi bien que moi que ça n'existe pas, les gens ne sont ensemble, que pour une seule et bonne raison : le cul ou les thunes et faire semblant qu'entre eux c'est l'alchimie totale. Ce ne sont que des apparences, ils se cachent derrière un masque de bonheur qu'ils nomment amour, mais s'il n'y avait pas la baise dernière leurs gestes affectifs, il n'y aurait rien, ce serait le vide total, le même vide que dans leur pauvres cervelles dénuées de bon sens et de raison. Alors pour vous répondre, non dans ma vie il n'y a pas d'âme sœur, que des poulettes de passages qui pensent qu'avec elles je serais différent, que cette alchimie se produira, mais rien, tout les matins je me barre sans aller chercher le petit déj et ça depuis que j'suis en âge de baiser.
☆ si je te dis argent, sexe, drogue, tu me réponds quoi ? vas-y, tu peux me dire tout ce qui te passe par la tête : Si vous me sortez ces trois mots à la suite, je vous dis tout naturellement : orgasme et jouissance. Ou peut-être pouvoir, oui parce que quand t'as de l'argent, une belle petite gueule et que t'es intelligent, tu peux être sûr d'avoir le monde à tes pieds. Et personnellement, je suis plutôt bien placé sur l'échelle du pouvoir. Mon paternel est un pauvre type, certes, mais richissime, ce qui prouve par a plus b, que moi aussi j'ai pas mal de thunes, et une belle gueule, ça par contre c'est loin d'être génétique. Alors oui, les relations d'un soir je les enchaîne, plusieurs par soir même, puis ne pensez pas que dans les boites de Boston tout est beau, parfois c'est sordide, souvent même, l'alcool coule à flot et la drogue, c'est pire. Au début, j'étais un simple consommateur occasionnel, la dépendance à ensuite fait son entrée dans mon organisme et du fric j'en ai dépensé oui, j'en claque toujours d'ailleurs, et pas que pour des petites drogues qui t'envoient à trois mille l'espace d'une heure, aujourd'hui c'est pire. Je deal pas mal aussi, ouais, j'en ai pas forcément besoin parce que je suis blindé, mais ça passe le temps et accrois mon emprise sur les gens, on me respecte autant qu'on me déteste, faut pas se leurrer, dans le genre détestable je dépasse les records.
☆ heureusement qu'avec moi tu es bavard, sinon tu te vois comment dans dix ans ? : Mort ? Ne vous méprenez pas, je ne suis pas dépressif, je ne pense pas au suicide, seulement j'ai toujours eu le pressentiment que je ne vivrais pas vieux, que la quarantaine je ne la passerais pas. Et cette perspective me plait bien. Puis qu'est-ce qu'on s'en branle de l'avenir ? Je vis au présent et je me fou pas mal de ce qui pourra m'arriver demain. Peut-être mort d'une overdose, assassiné par un client mécontent ou au fond d'une cellule parce que les foutu avocats de mon géniteur n'auront pas sur me défendre convenablement, mais peut importe n'est-ce pas cela qui fait le mystère de la vie ? merci beaucoup mon chou, tout est bon, j'te laisse tranquille.

il s'agit de répondre par oui ou par non selon les drogues/substances que consomme le personnage de façon régulière, si ce n'est qu'une consommation exceptionnelle et rare, mettez non. ● tabac : oui, au moins un paquet par jour. ● weed : oui. ● shit : oui. ● cocaïne : oui. ● autres drogues : oui/non (vous pouvez précisez lesquelles) - ● alcool : oui. ● régime : aucun. ● handicap/maladies : Insomniaque, mais pour quelqu'un qui vit la nuit c'est plutôt naturel. Asthmatique, et pourtant je passe quasiment tout mon temps à fumer, clopes sur clopes et autres substances illicites.