Citation :

flash loyd kloomberry.

allons nous gaver d'amour à en crever.

nom de famille ▽ kloomberry, putain de nom qui m'a valu une tonne d'histoires avec les flics. prénom(s) ▽ Loyd, mais appelle-moi Flash. âge ▽ 22 yo. date et lieu de naissance ▽ 6 février 1990, ici, à Boston. nationalité ▽ Ricain, depuis toujours. origines ▽ Américain, mes vieux sont pas du genre à trop voyager. statut civil ▽ L'idée d'être en couple me donne envie de gerber. orientation sexuelle ▽ J'aime les gros seins. études/métier ▽ Je suis peintre dans le bâtiment, et je deale. situation financière ▽ Pas assez de thunes pour t'en passer gros. groupe ▽ the outsiders.

I live halfway between reality and theater at all times. ☇ Putain, quel bon coup. Elle avait beau être une quinquagénaire, mariée et mère d'un gars de mon âge, je ne pouvais pas nier qu'elle savait y faire en matière de pipe. J'avais pris l'habitude de venir toquer à sa porte lorsque mon connard de boss m'imposait la tâche ardue de peindre les murs du couloir de l'immeuble où vivait cette femme sensuelle, corrompue et dévergondée. Cela faisait bien la cinquième ou même la sixième fois qu'elle avait opté de tromper son mari - barbant et emmerdant selon ses dires - avec le p'tit con que j'étais. J'étais comme ça moi, je portais une passion inégalable pour braver les interdits, pour repousser mes limites. La sensation de sentir le danger se braquer contre mon corps me faisait littéralement bander, ouais, ce pourquoi l'aider à faire cocu son époux m'exaltait amplement. Alors que je remontais mon jogging tâché par des macules de peintures verdâtres - celle avec laquelle je devais peindre le plafond des couloirs de l'immeuble -, mes lèvres bousillées par la clope et les joints vinrent bouffer les siennes en signe d'ultime remerciement pour ce moment divin en sa compagnie. Je quittai alors le domicile en quelques seconde, direction l'étage suivant pour continuer de peindre le plafond détérioré du vieux bâtiment qu'était cet immeuble. Ouais, j'étais peintre dans le bâtiment, c'était pas aussi classe et chic que d'être avocat ou médecin mais je ne haïssais pas mon taf. En réalité, je n'avais jamais rien foutu au bahut quand j'étais gosse. Je n'avais jamais compris l'intérêt d'apprendre le théorème de Pythamerde ou encore de retenir par cœur les dates de règne des rois d'Angleterre. J'étais pas du genre à réfléchir à ce qu'il m'attendait. Quand j'étais môme, je m'imaginais président de la république ; je voulais vivre à la maison blanche et avoir Britney Spears en femme. Quel rêveur. Au fil du temps, je compris que la vie s'annonçait bien plus difficile que ce que je désirais. Et voilà le résultat, moi, Flash ; peintre le jour, dealeur la nuit.

Effectivement, je dealais un peu. En même temps, avec les trois quarts de ma famille en taule, je ne pouvais que suivre cette voie. J'avais le choix entre cambrioleur, dealeur, violeur ou assassin. Dealeur, c'est plus poétique, nan ? Je savais à peine écrire mon prénom et je me présentais comme le cerveau de la famille, pas mal hein ? Nan mais disons que je n'étais pas forcément cultivé, ou même intelligent mais j'étais débrouillard. Tous les obstacles pouvaient se présenter à moi, je les franchissais à tous les coups, et j'assumais pleinement les conséquences - bon, ok, je mens, j'suis du genre à ne jamais avouer mes conneries -. Je reculais devant rien, et même pas devant mon vieux. Parce que, ouais, mon père, ce n'était pas n'importe qui dans le milieu. Alors que les pères normaux apprenaient à compter à leurs gosses, moi j'assimilais l'art de manier un flingue. J'avais sérieusement tout vu dans mon enfance ; mon père qui baisait des putes - avec ses potes - sur la table où je mangeais le midi, mon père qui butait ces putes en questions - toujours avec ces potes - et aussi mon père qui manigançait des plans avec ses potes pour dissimuler les cadavres des putes. J'étais trop jeune pour différencier le mal du bien, alors ceci m'avait toujours paru logique, banal, normal quoi. On ne pouvait pas dire que mon éducation avait été bienfaisante pour le môme que j'étais à l'époque mais je ne m'étais pas senti malheureux, inférieur aux gosses de mon école. Je ne manquais de rien, mon père était sympa avec moi. J'étais son seul gamin, j'étais prédestiné à prendre la relève de son royaume - dans le monde cruel du banditisme. L'un des points positifs et cools que j'avais à être le fils Kloomberry, c'était que j'étais respecté de tout le monde. Un prof' me disait un truc tordant ? Mon père arrivait dans l'heure qui suivait pour lui casser le nez - si il se présentait à lui dans un état sobre, sinon il.. hm, pourquoi y penser ? - Nan, je n'avais jamais souffert des antécédents familiaux. C'était moi, c'était inscrit en moi, comme un organe, comme un tissu de peau !

Allez hop, j'avais fini mon taf pour la journée. Je rinçai mes pinceaux et mes rouleaux dans un saut en plastique, et je fourguai tout le matériel dans ma vieille camionnette. En réalité, c'était mon véhicule de locomotion fourni par la boîte où je bossais, mais il m'arrivait fréquemment de l’emprunter, sans prévenir personne. J'avais le double des clefs quoi. Je me laissai bercer par les sonos de ma caisse qui hurlaient les cultes de AC/DC. Naturellement, d'une intonation fausse et stridente, j'accompagnais la voix de Johnson et j'emmerdais totalement et sans aucun scrupule les gens à qui cela faisait chier. Une fois le tas de taule garé devant l'épave qui me servait d'immeuble, je grimpai à l'étage trois pour rentrer chez moi. J'étais crevé. La vieille nympho m'avait épuisé. Je logeais dans un petit loft, où mon salon faisait office de cuisine et de chambre aussi. C'était serré, sombre. On avait constamment l'impression que les murs allaient s'écraser sur nous. C'était étouffant, mais je m'en foutais, j'avais vu pire puis j'étais pas un fada de la propreté. Les toiles d'araignées, les piles d'assiettes sales, les odeurs de vieilles baskets, ça fait un style !

Dans ce putain de taudis, il faisait chaud, il faisait lourd. Trop lourd. C'était pire qu'un sauna. Ma chemise de travail retiré, j'exhibais ma fine musculature, crée par toutes ces courses poursuites lancées par mes amis les flics. Ces connards me haïssaient depuis que j'avais tabassé un vieux gars qui m'avait piqué ma meuf, il avait juste payé. Depuis, mon visage ne leur revenait pas. Ce qui était hilarant dans cette affaire, c'était qu'ils n'avaient jamais pu me chopper pour mes affaires de drogues bien qu'ils s'en doutaient certainement, ils connaissaient mon père, mes oncles, mon grand père, la famille Kloomberry quoi. Je jetai mes baskets dans l'appart et me vautrai dans mon canapé lit. Ce soir, je comptais aller allumer des meufs, plus particulièrement une meuf. Je savais pas son prénom, pas son âge, pas sa situation, j'étais juste conscient qu'elle était putainement bonne et que je voulais me la faire. Une vraie chaudasse, une vraie pute. Elle refusait toutes mes avances, et ceci m'excitait d'avantage. Elle était mienne, et j'allais tout faire pour lui faire comprendre. Salope.

prénom/pseudo △ Captain Psycho, aka le grand méchant loup, soit Alan. âge △ Je suis âgé de seize ans. ville/pays △ J'suis français et je vis dans le nord-est de la France. comment es-tu tombé(e) sur le forum △ une attardée sexuelle que j'aime beaucoup fort me l'a passé. t'en penses quoi ? △ il pète tout ! personnage inventé, scénario ou pv △ c'est un scénario ! petit mot? △ J'aime les enfants, vous voulez une sucette ? crédits △ IVORY ZMAJ et MONEY HONEY et TUMBLR