| △ identity card ● nom : Newsham ● prénom(s) : Nate Kelyan ● surnom(s) : Kel'● âge : 22 ans ● date et lieu de naissance : 14 février 1990. Londres. ● casier judiciaire : vierge ● statut : Célibataire. ● activité(s) actuelle(s) : Directeur commercial d'une entreprise de cosmétiques
+ dominant, intelligent, charismatique,rationnel, impassible, mélomane, indépendant, ouvert - impulsif, manipulateur, je m'en foutiste, possessif, versatile, bordélique, bagarreur, complexe,
△ me, myself and I ☆ bonjour mon coco, n'aie pas peur, approche. on est seul mais d'abord, dis-moi d'où tu viens et je te dirais qui tu es : Je suis anglais et fier de mes origines. Peut-être un peu de trop pour certaines personnes que j'ai croisé. Mais il faut avouer, que le charme britannique et mon accent m'ont facilité pas mal de coup avec des américaines toutes plus délurées les unes que les autres. Je suis né à Londres, deuxième enfant d'une famille ayant des revenus plus qu'intéressant. Mon père est le directeur d'une chaine de restaurant à travers le globe, ce qui est ironique pour cet homme incapable de se cuir des pâtes. Enfin, je ne suis pas du genre à mordre la main qui me sustente et m'offre tout ce dont j'ai besoin en échange de quelques bons résultats scolaire et un minimum de docilité. Docile, enfant je l'étais face à mon père, face à ma mère et ma grande soeur l'histoire était tout autre. Bien qu'étant le plus jeune de la famille, je faisais régner ma loi. Aujourd'hui encore face à ma soeur et aux personnes que je rencontre je ne mets pas longtemps à imposer mes règles et mon point de vue. En grandissant, je n'ai pas vraiment changé, toujours aussi parfait à l'extérieur, toujours plus avide à l'intérieur. Le monde est un endroit plein de possibilités, plein d'occasions à prendre lorsqu'on sait comment s'y prendre. Une moyenne parfaite à l'école, des professeurs tous plus élogieux les uns que les autres, j'ai toujours eu le monde à mes pieds prêt à me servir de paillasson. Je n'ai jamais été du genre à avoir d'égal, toujours supérieur, toujours avec un coup d'avance, mon adolescence je l'ai planifié. Enfin, je me suis épanoui dans les limites que mon paternel m'avait imposées. Jusqu'au jour où mes parents se sont rendu compte de ma double vie, cela aux alentours de mes vingt ans. Après quelques séances non-fructueuses, ils ont décidé que changer de vie m'aiderait à passer outre mes mauvaises habitudes. Je suis donc arrivé il y a deux ans à Boston et j'y ai fini mes études de commerce à Harvard avant de me trouver un boulot dans une grande chaine de cosmétiques. Tout ce que je désire je l'obtiens, rien n'est plus compliqué que ça dans ma vie. Et sincèrement, je m'emmerde à mourir. . ☆ très bien, tout est parfait, comment vis-tu en ce moment ? plutôt boston de jour ou de nuit ? as-tu rencontré l'âme sœur ? : Ma vie ? Une ritournelle sans fin, un sempiternel sentier qui me mène à la même fin. Des journées vides de sens, des soirées courues d'avance. Une éternelle répétition du jour précédent sauf que la nourriture est différente, mon sommeil est pire, mes aspirations me bouffent encore plus. Je suis un jeune premier, vous voyez le genre ? Un arriviste qui se trouve au-dessus de la chaine alimentaire prêt à bouffer tout le monde. Sauf que c'est bien beau d'être au sommet, mais il n'y a rien de plus solitaire que d'être en haut et n'avoir rien à faire. Dans ces cas-là, je crois qu'on parle de connerie du genre fonder une famille, trouver son âme sœur, avoir une vie stable... Foutaise. La débauche et la frivolité de mes mœurs sont la meilleure chose que je puisse désirer. La seule chose qu'il me reste à désirer. Que ça soit dans le carré VIP d'une boite sordide, dans un hôtel de luxe ou à l'arrière d'une voiture hors de prix, tout est bon pour se sentir vivant. La poudre sert de tremplin à l'extase, la chair est un moyen de s'envoler vers les étoiles. Génération ratée ? Pas sûr, génération de carnassier plutôt. Tu croques ce qui se trouve sur ton chemin, pilules, filles. Les plaisirs éphémères le valent bien. Je ne suis pas nymphomane, je suis éveillé aux plaisirs de la chair. Depuis longtemps à vrai dire, mais je ne pense pas que ça soit un trait qui vous intéresse dans mon caractère. Je suis agréable, pas moche à regarder, j'ai du charisme et toutes les filles craquent. Il suffit de bien peu de choses pour se trouver un coup une fois la nuit tombée. J'aime les foules, les foules m'aiment. Dans toutes les situations c'est moi le boss. Que je sois en face de mon meilleur ami, mon banquier, un gars à qui je revends de la daube, mon dealeur attitré, la fille qui se trouve dans mon lit, mes amis. En toutes circonstances je domine, je domine le reste du monde ce n'est pas pour rien que je fais partie des requins de ce monde. Je domine le monde, qu'il s'agisse du monde du jour ou du monde de la nuit. J'ai un pied dans chaque dimension contrôlant mon petit monde avec un plaisir délirant. Au niveau de l'amour, ou en tout cas de mes passions. Je ne sais pas quoi dire, pas qu'une peinture de cette part de ma vie soit sans valeur. Je n'attache pas d'importance à l'amour enfin, je n'attachais... C'est assez complexe. Dans la vie soit on domine, soit on est dominé, mais ça devient vite ingérable lorsqu'on se retrouve à jonglé avec de nouvelles inconnues dans l'équation. Surtout lorsqu'il s'agit d'une belle blonde pas si inconnue que ça. Je ne suis pas romantique, je suis loin d'être exclusif, ou même fidèle. Absolument pas, je suis volage, pour moi le romantisme c'est ringard. On est à l'époque où on se dit « je t'aime » par sms, on se baise dans des cabines d'ascenseur et les secrétaires passent quasiment toutes par le bureau de leur employeur. Alors, les roses, les repas aux chandelles et toutes ces conneries, c'est n'importe quoi. On aime pour se faire blesser et blesser. Mais bordel, à ce niveau-ci, il ne s'agit plus d'égratignure. Je ne parle pas de me frotter à des roses, mais bien de flirter avec la brèche. Plus j'essaye de ne pas y penser, plus j'y pense. Je ne suis pas celui qui subit, je domine. Encore et toujours je domine. Alors savoir qu'elle me bouffe de l'intérieur, pollue mes pensées, ça me rend dingue. Je deviens dingue et je me vois devenir fou peu à peu incapable de lutter contre cette douce folie qui me consume. Stupidement je cherche à mettre des barrières, définir notre relation comme je l'avais toujours fait, même lorsqu'avec la belle nous étions enfant et les meilleurs amis du monde en Angleterre. Avant qu'elle ne parte, avant qu'elle ne me file entre les doigts... Elle ne s'échappera pas cette fois. ☆ si je te dis argent, sexe, drogue, tu me réponds quoi ? vas-y, tu peux me dire tout ce qui te passe par la tête : Alors, pouvoir, plaisir et encore plaisir. En gros, un bref résumé de ma vie. J'ai du fric, j'ai des filles, j'ai de quoi planer à des altitudes inégalées. J'ai toujours été entouré par le fric, mais c'est vers la moitié de mon adolescence que je me suis lancé dans la débauche. De mauvaises fréquentations en mauvaises fréquentations j'en suis arrivé à devenir ce que je suis aujourd'hui. Toutefois, je me contrôle, en façade parfait sous toutes les coutures, derrière le vernis adepte de la pourriture. L'amour est laid, l'argent est sale et la drogue un échappatoire. Je ne m'occulte pas la vérité et je me prélasse dans le luxe et la volupté. ☆ heureusement qu'avec moi tu es bavard, sinon tu te vois comment dans dix ans ? : iSix pieds sous terre d'avoir trop vécu ? A la tête d'une multinationale avec plus d'argent qu'aucun compte en banque n'a jamais réussi à en posséder ? Je n'en ai pas la moindre idée. Tout ce que je sais c'est que ma place sera soit au sommet, soit au plus profond des ténèbres. Après la lumière, on ne peut que finir par connaître l'obscurité. Il faut bien qu'un jour ou l'autre on finisse par s'écraser au sol pour laisser aux autres la chance de briller. Enfin, avant de penser à ça, il faudrait déjà que je sache ce que je compte faire l'année prochaine. Rien n'est tracé dans la pierre, on bâtit son avenir comme un château de cartes, tout peut s'effondrer. merci beaucoup mon chou, tout est bon, j'te laisse tranquille.
△ consommation & état de santé ● tabac : oui/non. ● weed : oui. ● shit : oui. ● cocaïne : oui. ● autres drogues : oui, le sexe est mon héroïne. Enfin, tout ce qui se gobe, s'avale, se snif, se fume. - ● alcool : oui. ● régime : aucun ● handicap/maladies : Mes parents m'ont envoyé voir un psychiatre il y a peu. Ils cherchaient à comprendre "ce qui n'allait pas". Encore de l'argent dépensé pour rien, ce n'était pas quelques séances chez un psy à la con qui allaient changer quoique ce soit dans mes habitudes de consommations. Heureusement, depuis ils sont cool et me laissent tranquille
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