♦ prénom/pseudo : rachel alias pray for plagues. ♦ où avez-vous connu le forum ? : j'ai proposé ma candidature au poste d'administratrice grâce à une demande d'avis/staff sur bazzart. ♦ avez-vous un commentaire ou une suggestion à faire ? : absolument pas. ♦ votre personnage est un personnage inventé.
△ identity card
● nom : delacroix ● prénom(s) : lison orane● surnom(s) : joan ● âge : dix huit ans. ● date de naissance : neuf janvier 1994. ● lieu de naissance : boston. ● casier judiciaire : possession de substances illicites, consommation de substances illicites, prostitution, coups et blessures, vol, outrage à agent, vente de substances illicites. ● état civil : c'est assez compliqué.. ● activité(s) actuelle(s) : mannequin, dealeuse.
Dernière édition par Lison Delacroix le Mer 21 Déc - 15:10, édité 14 fois
Invité
Sujet: Re: lison ϟ comic strip. Lun 5 Déc - 17:32
Quand t'es junkie, t'as qu'un seul soucis : Te fournir. Le jour où tu décroches d'un coup tu te prends la tête avec plein d'autres conneries. T'as pas de blé, tu peux pas te bourrer la gueule, t'en as tu picoles trop. Alors on décroche pas. On s'en contre fiche d’accélérer notre fin, on s'en fou de faire de la peine, de blesser les gens autours de nous. On les emmerde, ces connard qui ne comprennent rien à la vie. Ils savent pas eux, y'avait que lui qui comprenait. Y'avait que lui qui savait. Maintenant il n'est plus là. Maintenant, chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde est une putain d'épreuve qui nous pousse à nous demander intérieurement : « la vie vaut-elle vraiment la peine d'être vécue ? » mars 2008. Il est exquis, même de dos. De courts cheveux bruns en pagaille, une peau parfaitement lisse et mate. Il m’observe, je me sens désirée, désirable. Nos regards se captent puis se quittent, et nous détournons la tête, timide, encore inconscients de la connerie que nous nous apprêtons à faire en tombant amoureux l'un de l'autre. Il aurait suffit d'un non pour me sauver, il m'avait promis l'éternité. J'apprend par ma camarade qu'il s'appelle Eliot, même si tout le monde l'appelle Jakob. Mais si, je sais le mec « le plus canon de boston, tu sais, celui qui s'est tapé Glory, Becky et Autee -il a une came d'enfer ». Non, conasse, je vois pas. Non je vois pas qui est cet étrange garçon qui me dévore des yeux, et dont la seule présence suffit à faire mouiller les trois pétasses citées précédemment (je les hais ces putains). On s'éclipse au toilette, lui et moi, on se défonce, il me dit son prénom, je lui dis le mien, et on va chez lui.